Avant de deceder

J'ai décidé de balancer des CDs avant de décédé Céder la place à l'As, à l'aise, qu'on me laisse N'est ce pas trop demander? Dément D'attirer le démon tel un aimant A tirer les ficelles facile, enfin celles qui fascinent Imagine, une machine qui chine des rimes en chaînes Son arôme tel le rhum les anime Ils dérivent, ivre, puis arriment sur mon île A mille lieux, au milieu de ceux qui sont déçus Essuies leurs blessures bien sur Le blé sur c'est absurde, pas sur d'eux ils s'assurent.. Moi je suis sur que ce cirque Ne sert qu'à nous rendre acerbe Les rats se servent sans prendre la peine d'observer Je suis et resterais ce petit homme, dis le môme Qui essuie ces blessures bien sur Ceux qui me pesterais, je les testerais! L'air est austère, faut qu'on s'tirent Se terrent, s'en tirent avant qu'on nous fasse taire ! Vas y laisse, l'As il est à l'aise, et laisse des traces Il manie c'est inné, pas évitable mais vitale Ta pas idée, quand il s'anime, il fout la zizanie Comme le diable de Tasmanie Qui est ce gosse qui sans cesse acquiesce? A qui est ce qu'il s'adresse? Devant lui se dresse des monts et des cimes Des démons qui déciment.. Il signe des scènes à la pointe de son stylo Mais la sienne est hostile au style Gravé sur une stèle, est elle entouré de gravier? En tout prés d'un lieu vieux comme Jésus J'ai su que la vie c'est: être avisé de ces vices Pour se hisser y laisser ces bourses Lasser mais pas blessé, c'est être blazer Comment ce fait-il fils, que lorsque sa commence Tu fasses dans ton futal? Les rimes futiles je m'en fou d'elles Encore faut il qu'elles soient de Faudel C'est sa de ressassé, pour mieux se rassasié Monsieur, je ne peux vaciller.. Vas y yeah, asseyez vous L'As va vous scié, ça y est je suis lancé Laissé moi m'allié à ce son naissant Cessons d'être indécent.. Des versets qui vont exercer sur l'air Leurs rôle et en effet te bercer Rouler tu te met à râler mais Râlera bien qui râlera le dernier, l'air nié j'ose Cause des hernies aux petites dames pleines de vernie En hiver une nuit sans nuisances Mes vers sont luisant, ruisselant Goutte mes lettres qui coûtent les yeux de la tête Les cieux, je les laisse à ces Messieurs Mais si eux n'y sont pas à l'aise, faudra que je m'y plaise..